L’urgence d’investir dans la bifurcation écologique de nos économies fait désormais l’objet d’un large consensus scientifique. Reste une question essentielle : comment financer dans la durée ces investissements à grande […]

Un podcast pour Ecolo au boulot, avec Mireille Bruyère, en accès libre via Spotify A lire et écouter ici

28 juin 2025 de 9h à 18h « Le temps du monde fini commence », écrivait Paul Valéry en 1931. Par ce raccourci, il condensait les deux limites à l’action humaine. Près […]

Si l’anthropocène est aujourd’hui d’usage courant pour désigner la période présente marquée par les transformations qui affectent de plus en plus notre planète, une autre tendance se fait jour chez nombre de chercheurs qui préfèrent le terme de capitalocène

L’Insee vient de publier une analyse intitulée « Peut-on prendre en compte le climat dans les comptes nationaux ? L’épargne nette ajustée des effets liés au climat est négative en France » .

Alors que le rapport Draghi sur la compétitivité européenne a été au mieux superficiellement présenté dans les médias, cette note en offre un éclairage détaillé et critique afin de permettre au grand public d'en saisir pleinement les implications.

Au lieu de s’attaquer à la question de la réindustrialisation, de la justice sociale ou de la transition écologique, le gouvernement se concentre sur la réduction du déficit public sans proposer de véritable projet mobilisateur pour l’avenir.

Les dérèglements environnementaux sont dus au développement du capitalisme fossile : le capitalocène.
Les politiques nécessaires pour répondre à la crise écologique nécessitent une profonde remise en cause du système économique actuel.

Pour guider la politique budgétaire, le fétichisme budgétaire doit être remplacé par la finance fonctionnelle, et le concept de soutenabilité de la dette publique doit être repensé.

La valeur des marchandises et celle de la justice, de la liberté, de la démocratie, d’une œuvre d’art sont-elles comparables, non pas en termes comptables mais de signifiant d’une société ? Pourquoi le même mot sert-il pour les définir ?

Dans cet ouvrage collectif, nous explorons des initiatives et réfléchissons à partir d’une définition proposée par Benjamin Coriat. Nous caractérisons les communs de proximité par trois critères interreliés.

Une chronique de Jacques Rigaudiat dans son blog "Stasis" sur Alternatives économiques.