Ce mercredi 21 février, Benjamin Coriat, professeur de sciences économiques à Paris 13, Philippe Aghion, professeur au Collège de France, et Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l’ESCP, sont revenus sur […]

À l’approche de l’ouverture des négociations voulues par le premier ministre entre les syndicats et le patronat au sujet du financement des retraites, on voit déjà quelles seront les pierres […]

L’Insee vient de publier une analyse intitulée « Peut-on prendre en compte le climat dans les comptes nationaux ? L’épargne nette ajustée des effets liés au climat est négative en France » .

Au lieu de s’attaquer à la question de la réindustrialisation, de la justice sociale ou de la transition écologique, le gouvernement se concentre sur la réduction du déficit public sans proposer de véritable projet mobilisateur pour l’avenir.

Christophe Ramaux déconstruit les lieux communs qui entourent notamment la dépense publique, dans le cadre d'un débat au JT du soir de FranceInfo TV

Pour guider la politique budgétaire, le fétichisme budgétaire doit être remplacé par la finance fonctionnelle, et le concept de soutenabilité de la dette publique doit être repensé.

Léo Charles et Henri Sterdyniak interviennent sur RCF pour donner le point de vue sur ce débat entre baisse des dépenses et hausse des impôts.

Un entretien croisé dans Actu.fr entre deux économistes, Léo Charles des Economistes Atterrés et Philippe Crevel directeur du Cercle de l'épargne.

Léo Charles et Henri Sterdyniak répondent aux questions de RCF radio dans ce podcast. Au vu du déficit, faut-il activer le levier de la fiscalité ?

A l'occasion de la Rencontre des entrepreneurs de France (Université d'été du Medef), Benjamin Coriat, Economiste atterré et Jean-Marc Daniel, professeur à l'ESCP Business school étaient les invités de la Semaine de l'Eco sur France 24, le 1er septembre.

Christophe était l'invité du journal du soir de France Info TV le mercredi 17 mai. Il a analysé la communication récente du Ministère des Finances sur l'impôt. Le compte n'y est pas.

Quand les députés macronistes modifient et votent des lois pour permettre aux banques de continuer à frauder sur le paiement des impôts dus sur les dividendes versés aux actionnaires.