Dans cet ouvrage collectif, nous explorons des initiatives et réfléchissons à partir d’une définition proposée par Benjamin Coriat. Nous caractérisons les communs de proximité par trois critères interreliés.

Avec le Sommet « Sauver le Bien Commun » récemment organisé par Jean Tirole et la Toulouse School of Economics, la formule de Davos est reconduite – en dépit de l’échec spectaculaire de tout ce pour quoi le Forum économique mondial a milité.

Un entretien de Benjamin Coriat avec Tara Schlegel sur France Culture le 12 mai 2022.

Benjamin Coriat est l'invité du journal de France Culture du 12 mai 2022

Conférence débat avec Benjamin Coriat 17 mars 18h15 Au Fenouil à vapeur, 145 rue Carreterie AVIGNONProfesseur émérite à l’université Sorbonne Paris Nord.- Membre du Collectif des Économistes Atterrés.LE BIEN COMMUN,LE […]

Un article de la revue AOC par Benjamin Coriat, Fabienne Orsi, Jean-François Alesandrini, Pascale Boulet et Sauman Singh-Phulgenda Au moment où se multiplient les appels à ériger les vaccins, masques […]

Benjamin Coriat présente son dernier ouvrage, Le Bien commun, le climat et le marché. Réunion en visioconférence sur Zoom le lundi 31 janvier 2022 à 18h30.

Dans cette conférence à la session inaugurale de l'université d'automne de la LDH, Benjamin Coriat expose pourquoi la crise actuelle est parfaitement endogène, c'est celle de notre système économique et social.

Un entretien avec Benjamin Coriat dans le journal Reporterre à propos de son dernier ouvrage "Le bien commun, le climat et le marché". 30 octobre 2021

Une contribution de Jean-Marie Harribey au colloque de la Société française pour le droit de l'environnement qui s'est tenu à Bordeaux du 27 au 29 octobre. Sa thématique : Service(s) public(s) et bien(s) commun(s) : opposition ou complémentarité ?

Un entretien d'une heure avec Benjamin Coriat sur l'histoire des communs, cette alternative à la marchandisation du monde.

Les Économistes atterrés nous invitent à distinguer l’essentiel du superflu et l’utile du nuisible. C’est seulement à partir de ces véritables besoins que peut se construire une réelle alternative sociale et écologique au capitalisme néolibéral actuel.