Dans cette conférence à la session inaugurale de l'université d'automne de la LDH, Benjamin Coriat expose pourquoi la crise actuelle est parfaitement endogène, c'est celle de notre système économique et social.

Pour Benjamin Coriat, professeur d'économie membre du collectif des Économistes atterrés, "Il faut aider à dégeler" le surplus d'épargne lié au Covid et le flécher pour renforcer l'investissement "vers la transition écologique et sociale".

Dany Lang était l'un des invités de Nicolas Doze ce matin sur BFM business pour parler d'inflation, de "grande sécu", de politiques monétaires et de stratégie industrielle

"Aucune crise ne semble altérer la détermination de nos dirigeants à perpétuer le monde d’avant, en pire, car l’entendement des élites est durablement embrouillé par une religion néolibérale insensée..."

"De quoi avons-nous vraiment besoin ?" C'est la question que posent les économistes atterrés dans leur dernier livre, que nous présente Eric Berr dans sa chronique des Clés de l'éco.

Eric Berr est interrogé par Salomé Saqué, dans le cadre de cette vidéo de Blast sur le (mauvais) bilan d'Emmanuel Macron.

l'émission mensuelle Voix contre oreille de Radio Aligre, David Cayla et Christophe Ramaux débattent de ce que serait une politique économique de gauche 40 ans après l'accession de François Mitterrand à la présidence de la République.

Faut-il s'inquiéter de l'inflation ? C'est la question que nous nous sommes posée dans "C cash" d'Olivier Delamarche.

Salomé Saqué à invité Dany Lang sur le plateau de Blast pour parler de la possibilité d'une crise bancaire et financière.

Dans un ouvrage récemment paru, les Économistes atterrés posent une question qui peut sembler triviale mais est essentielle : de quoi avons-nous vraiment besoin ? Poser la question, c’est déjà changer la logique de l’économie. Entretien avec la coordinatrice.

Un débat d'Arrêt sur Images sur l'opportunité de la décroissance avec David Cayla, Vincent Liegey, Sandrine Rousseau.

Les Économistes atterrés nous invitent à distinguer l’essentiel du superflu et l’utile du nuisible. C’est seulement à partir de ces véritables besoins que peut se construire une réelle alternative sociale et écologique au capitalisme néolibéral actuel.