Un podcast pour Ecolo au boulot, avec Mireille Bruyère, en accès libre via Spotify A lire et écouter ici

Si l’anthropocène est aujourd’hui d’usage courant pour désigner la période présente marquée par les transformations qui affectent de plus en plus notre planète, une autre tendance se fait jour chez nombre de chercheurs qui préfèrent le terme de capitalocène

Alors que le rapport Draghi sur la compétitivité européenne a été au mieux superficiellement présenté dans les médias, cette note en offre un éclairage détaillé et critique afin de permettre au grand public d'en saisir pleinement les implications.

Au lieu de s’attaquer à la question de la réindustrialisation, de la justice sociale ou de la transition écologique, le gouvernement se concentre sur la réduction du déficit public sans proposer de véritable projet mobilisateur pour l’avenir.

La valeur des marchandises et celle de la justice, de la liberté, de la démocratie, d’une œuvre d’art sont-elles comparables, non pas en termes comptables mais de signifiant d’une société ? Pourquoi le même mot sert-il pour les définir ?

Dany Lang avec d'autres économistes ou experts a répondu à des questions de Théodore Laurent dans Forbes pour essayer de tracer les grandes tendances économiques qui pourraient marquer l'économie française.

Une note d'analyse des Economistes atterrés pilotée par Jonathan Marie portant sur la conjoncture et les politiques désinflationnistes

Croissance affaiblie, inflation de retour, la crise qui se profile montre l'inefficacité des politiques néo libérales qui ont été menées. Une analyse de Christophe Ramaux dans le duel éco du JT de 23h sur France Info.

Benjamin Coriat examine les causes structurelles de la poussée inflationniste actuelle.

Mireille Bruyère défend dans un grand entretien accordé à Feat-Y le concept de « décroissance productive », impliquant une refonte profonde du mode de production.

Un débat d'Arrêt sur Images sur l'opportunité de la décroissance avec David Cayla, Vincent Liegey, Sandrine Rousseau.

Les Économistes atterrés nous invitent à distinguer l’essentiel du superflu et l’utile du nuisible. C’est seulement à partir de ces véritables besoins que peut se construire une réelle alternative sociale et écologique au capitalisme néolibéral actuel.